L’association prend également soin de respecter au mieux les règlementations au niveau GDPR, les données personnelles et l’image de ses membres.
Droit à l’image
En adhérent à une association, le membre, par définition, accepte la vie publique de cette association et de ses membres.
Dès lors que toutes les activités et organisations du club sont considérées comme publiques, le membre peut être cité, énuméré et/ou photographié ; il en est de même pour le ou les véhicules participants ou non à l’activité incluant les plaques d’immatriculation, marques et signes. Le membre accepte unilatéralement l’utilisation de ces images et données. Le membre peut à tout moment demander cependant une rectification, correction ou effacement d’une photo, publication ou information pouvant porter directement ou indirectement atteinte à son intégrité ou à sa vie privée. Dans certains cas, les frais, s’il y en a, seront cependant supportés par la partie demandeuse.
A aucun moment, le club, l’association, ses associés et les membres du Conseil d’Administration ne peut directement ou indirectement être tenus responsables des incidences et conséquences d’un abus du droit à l’image.
En adhérent à l’association, le membre accepte donc explicitement que son image puisse être utilisée, visualisée et partagée.
Partage, réseaux sociaux, internet
De manière générale, l’association veillera à minimiser l’exposition, sur les réseaux sociaux ,de données ou marques telles que les plaques d’immatriculation, marques et modèles, …
Cependant, et comme expliqué dans le « Droit à l’image », le membre accepte par défaut que son image soit diffusée et ce également sur les réseaux sociaux ou toutes autres formes de publications.
A tout moment, le membre peut informer le Conseil d’Administration et demander une modification ou correction.
La communication du membre via les réseaux sociaux
Le membre, à titre privé, peut également diffuser sur internet des images captées lors des activités du club. Cependant, il doit lui-même respecter les sections précédentes et doit unilatéralement s’engager à modifier ou corriger ses publications à la première demande du Conseil d’Administration.